"C'est un moment très important pour moi". Prenant la parole lors d'une conférence de presse depuis l'Inde, ce lundi 27 janvier, Valérie Trierweiler note qu'elle s'y rend pour la troisième fois :
"La première fois comme journaliste, la seconde fois comme première dame, et aujourdhui ? Qualifiez-le comme vous voulez.
"
"On peut tous faire quelque chose et c'est ce que je continuerai à faire quoi qu'il arrive" explique encore l'ancienne Première dame qui effectue un voyage humanitaire de deux jours comme "simple citoyenne", ambassadrice d'Action contre la faim, et non comme compagne du chef de l'Etat.
"Je me sens très bien, je me sens très bien d'être ici" ajoute-t-elle en assurant que, malgré les réserves du chef de l'Etat, "ce voyage était programmé depuis six mois et envisagé depuis un an, pour rien au monde [elle] n'aurait failli à ce rendez-vous" car elle a "l'impression d'être utileà quelque chose".
Pressée de questions sur son avenir, la journaliste conclut qu'il lui "reste encore quelques années à vivre" et lance : "Ne vous inquiétez pas pour moi, merci".
La vidéo de la cohue lors de l'arrivée de Valérie Trierweiler à l'aéroport de Bombay
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