Elle dit tout à la fois ne pas trop vouloir se confier sur sa rupture avec François Hollande, mais se laisse tout de même aller à des confidences. Valérie Trierweiler, ex-Première dame récemment congédiée par le chef de l'Etat , s'est confiée à Europe 1 en marge de sa visite humanitaire à Bombay, en Inde.
Valérie Trierweiler assure vouloir vivre "au jour le jour", et s'attache à assurer à son interlocuteur qu'elle va aujourd'hui mieux, après son séjour à l'hôpital , tout en restant prudente :
"C'est peut-être dans un mois que je subirai le contrecoup.
"
Valérie Trierweiler ne veut pas non plus laisser penser que cette rupture virera à la guerre des ex :
"On continue de correspondre avec François. [...] C'est la fin d'une histoire, j'en ai eu d'autres. 19 mois, ce n'est pas beaucoup à l'échelle d'une vie.
"
Sur ces mois passés à l'Elysée, Valérie Trierweiler assure n'avoir qu'un seul regret: son tweet ravageur pro-Falorni (et surtout anti-Royal), qui avait squatté la une des journaux lors des législatives de juin 2012 :
"Si c'était à refaire, je ne le referai pas.
"
Où voit-elle l'avenir ? Surement pas dans le journalisme politique :
"Ça ne m'intéresse plus et me dégoûte même un peu.
"
L'ex-Première dame souhaite se consacrer à ses activités humanitaires, et aux associations qu'elle soutient : "je ne peux pas choisir entre deux souffrances d'enfants, je veux faire le maximum".